Lecap des 20 000 hectares a été franchi malgré une accalmie sur les deux fronts, 2 000 pompiers sont mobilisés. C’était il y a huit jours. Mardi 12 juillet, dans l’après-midi, deux
Rappelde ce qu'il faut savoir sur cette technologie révolutionnaire. Nouvelles statistiques, nouvelles données exclusives pour une meilleure analyse des performances : l’application de tracking des courses hippiques évolue. Voici les 10 points essentiels à connaître sur le PMU Tracking. Une technologie unique au monde, 100% française, développée par et pour les
Onse souviendra que dans son plan de développement 2004-07, Loto-Québec planifiait la construction de cinq salons de jeu. Dans ceux-ci, Loto-Québec y
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Originairede Boulogne-sur-Mer, Christian Delattre n’a pas toujours rêvé de travailler dans le milieu hippique, même si ses parents étaient propriétaires de chevaux de course. À la base, il pensait devenir pâtissier, mais plusieurs visites sur les hippodromes avec son grand-père le feront changer d’avis En 1975, il part s’installer à Maisons-Laffitte - qu’il ne quittera
Faceà l’augmentation des cas de variole du singe (Monkeypox en anglais) sur le territoire national et européen, la Ville de Marseille a mis en place – dès mardi 2 août 2022 – des créneaux de vaccination pour lutter contre cette infection virale rare, au centre de vaccination municipal. Le centre se situe à l'immeuble Communica 2 place François Mireur (1er) ; l'entrée
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Pour remporter une course comme il se doit, le jockey mais surtout le cheval doit être au top. Pour le jockey, sa compétence ne dépend que de lui. Ce n’est pas forcément le cas pour les chevaux. Non seulement l’entraîneur doit savoir ce qu’il fait pour que le cheval soit dans sa meilleure forme mais ce dernier doit être également performant. Préparation depuis son plus jeune âge En principe, le poulain voit le jour entre le 1er janvier et le 30 juin. A partir de leur naissance jusqu’à leur 18ème mois, ils errent où ils veulent. Toutefois, le dressage se déroule tout au long de sa croissance. Pour ce faire, ils font connaissance à la selle et à la monte. Les entraîneurs doivent parvenir à tisser une relation avec les poulains pour que ceux-ci soient prêts à affronter les courses au bout des plusieurs mois d’entraînement. Pourquoi est-ce que l’on entraîne les poulains ? Une rude condition physique est nécessaire pour être au même niveau que les grands chevaux de course. C’est la principale raison pour laquelle les jeunes doivent s’entraîner pendant environ 8 mois à 1 an. Pendant ce temps, la préparation est basée sur leur endurance et leur réactivité. L’idée est de familiariser le cheval à l’équitation. Pour qu’une bonne relation entre le jockey et le cheval soit instaurée, celui-ci doit être docile et facile à dompter. A ce stade donc, la vitesse n’est pas encore étudiée. En réalité, cette caractéristique est propre à chaque cheval. De ce fait, elle est à développer au fur et à mesure qu’il court. Une fois qu’il est prêt… Dès que le cheval est paré pour le monde professionnel, il a besoin d’être avec le lad tous les jours. Les jockeys d’entraînement adoptent une technique particulière pour que l’entraînement soit bien organisé. Ce qu’il faut savoir en premier lieu est que le poulain a besoin de compagnies pour s’imprégner plus rapidement de l’ambiance. Ainsi, ils sont regroupés en plusieurs lots. Ces derniers peuvent être sous la responsabilité d’un seul lad dépendamment de leur caractère. Organisation de l’entraînement quotidien Une fois les lots préparés, les responsables établissent minutieusement les programmes de sortie. A noter que les chevaux sont regroupés selon leur niveau. La première sortie commence avant l’aube. En général, ce sont les meilleurs qui partent en premier. Pendant une heure ou 1h30, ils s’entraînent par palier. La nature de l’entraînement varie selon le résultat attendu. Cependant, il se déroule en suivant une logique bien définie. Une marche au pas pour échauffer les muscles. Suivi d’une marche au trot qui consiste à introduire l’étape suivante dont le galop de chasse. Les autres entraînements Outre les exercices quotidiens, une petite course de 800 à 3000 mètres se fait entre les chevaux d’une même écurie. Cela se passe une ou deux fois toutes les semaines. Les courses d’obstacles nécessitent vraiment un autre type de training. En procédant petit à petit, le cheval commence par un saut sur une barre installée au sol. Par la suite, il effectue un saut au galop en hauteur avant d’entamer un saut en groupe avec une vitesse régulière.
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Hippodrome d’Auteuil Cet hippodrome, inauguré en 1873 et situé dans le bois de Boulogne, est utilisé uniquement pour les courses hippiques d’obstacles. L’épreuve majeure de cet hippodrome reste le Grand Steeple-Chase de Paris qui se court chaque année durant le mois de mai. Hippodrome de Chantilly Inauguré en 1834, l’hippodrome de Chantilly occupe une surface de 65 hectares et possède de nombreuses pistes, à savoir une grande piste de 2400 mètres, une ligne droite de 1200 mètres, une piste moyenne de 2150 mètres et une piste ronde. Egalement un centre d’entraînement, cet hippodrome accueille notamment le Prix du Jockey Club ainsi que le Prix de Diane. Hippodrome d’Enghien Inauguré en 1879, l’hippodrome d’Enghien-Soisy comporte une piste en herbe destinée aux courses de galop et une en sable pour les courses de trot. Les principales courses de cet hippodrome sont le Grand Steeple-Chase d’Enghien qui se déroule au mois d’octobre, ainsi que le prix de l’Atlantique, une course internationale de trot. Hippodrome de Longchamp Bâti en 1857 sur une surface de 57 hectares, l’hippodrome de Longchamp englobe cinq pistes réparties sur 17 hectares une grande piste de 2750 mètres, une moyenne de 2500 mètres, une petite de 2150 mètres, une nouvelle de 1400 mètres et une ligne droite de 1000 mètres. Mondialement reconnu pour être parmi les plus prestigieux, il accueille de nombreuses courses internationales de plat. Hippodrome de Maisons-Laffitte Cet hippodrome de courses de galop, inauguré en 1873, possède une piste de 4680 mètres mais également la ligne droite la plus longue d’Europe 2300 mètres ! Hippodrome de Saint-Cloud Inauguré en 1901, cet hippodrome, aussi connu sous le nom d’hippodrome du Val d’Or, couvre une superficie de 75 hectares et reçoit des courses de galop sur une piste de 2300 mètres. Il accueille deux courses principales, le Grand Prix de Saint-Cloud ainsi que le Critérium de Saint-Cloud. Hippodrome de Vincennes Inauguré en 1863, cet hippodrome accueille annuellement près de 1255 courses de trot attelé et monté, dont le Prix d’Amérique Marionnaud. Il peut accueillir jusqu’à 35 000 visiteurs !
Un cheval qui a de fortes chances de participer à l’arrivée d’une course n’est pas forcément celui qui a obtenu les meilleures performances. Pour repérer les meilleures chances » d’une course, certaines données sont à prendre en compte lorsque l’on fait le papier. • Comparer les performances en observant la musique» des partants permet de connaître les chevaux souvent placés voir disqualifiés et ainsi de garder ou d’écarter certains concurrents d’un seul coup d’œil. Il faut rapidement réussir à voir si on peut détacher plusieurs chevaux qui paraissent au-dessus des autres ou s’il s’agit d’une course ouverte. Ensuite il faut rentrer dans le détails des performances des chevaux et regarder s’ils ont déjà brillé dans la catégorie de course du jour. Un cheval avec une belle musique ayant participé à l’arrivée de petites courses peut décevoir. À l’inverse, un cheval ayant obtenu des performances moyennes dans des courses relevées et qui redescend de catégorie, peut se mettre en évidence. • Comparer les gains! Il faut obligatoirement regarder combien d’argent a gagné un trotteur dans sa carrière et comparer ce montant avec ceux des conditions de participation de la course, afin de savoir si le cheval est bien engagé. Il peut arriver qu’un cheval soit en retard de gain à la suite d’une blessure ou d’une période ponctuée de nombreuses disqualifications. Moyennant une certaine expérience, un turfiste doit savoir repérer les chevaux qui n’ont pas les gains en rapport avec leur potentiel. • Etudier les lignes des courses de références. Cela signifie regarder le classement et les chronos des courses dans lesquelles les partants du jour se sont déjà affrontés. Il est ensuite nécessaire de chercher d’éventuelles indications en observant comment les chevaux étaient déferrés ce jour là , mais aussi essayer de savoir si leur parcours durant la course s’est bien déroulé ou non. • Prendre en compte la forme d’un cheval. La forme prime la classe» cet adage connu des turfistes aguerris se vérifie régulièrement notamment chez les vieux trotteurs. Il signifie qu’il est préférable de retenir un cheval supposé moins bon mais qui vient de gagner, à un cheval d’une meilleure valeur dont les performances récentes sont moins brillantes. L’adage vaut bien sûr pour des chevaux de même catégorie. La forme saisonnière d’un cheval est aussi une donnée importante à repérer. En effet, beaucoup de chevaux atteignent leur meilleur niveau de forme à une période bien définie de l’année. • Regarder l’aptitude du cheval à la distance. On sait si un cheval apprécie la distance de la course en regardant s’il a déjà obtenu de bonnes performances sur cette distance. • Regarder l’aptitude du cheval à la corde. Un peu comme les hommes, certains chevaux sont droitiers» ou gauchers». Il est important de regarder si un cheval a déjà obtenu de bonnes performances sur des parcours avec une corde identique à celle de la course du jour. • Regarder l’aptitude du cheval à l’hippodrome. On sait si un cheval apprécie l’hippodrome où va se dérouler la course en regardant s’il a déjà obtenu de bonnes performances sur cet hippodrome. Les parcours des hippodromes étant différents, un cheval ayant de bonnes performances sur un hippodrome parisien peut connaître des difficultés d’adaptation en région et inversement. • Analyser et comparer les chronos sur le parcours. Lorsque plusieurs chevaux ont déjà participé à des courses sur le parcours du jour, il est possible de comparer les chronos. Même si la réduction kilométrique dépend souvent du déroulement de la course, cette indication importante permet de détacher certains chevaux. • Prendre en compte le déferrage et les artifices. Le déferrage permet souvent de savoir si un cheval est présenté pour gagner. Certains chevaux ne réalisent de bonnes performances que lorsqu’ils trottent sans leurs fers. Il est alors facile de voir si leur entraîneur a visé la course ou si le cheval court afin de préparer une épreuve à venir. C’est la même chose pour les artifices, à la différence que ces derniers ne sont indiqués sur aucun programme. C’est en observant les différentes courses du cheval que le turfiste pourra profiter de ces informations afin de savoir si le cheval se présente avec des artifices qui lui ont déjà permis de briller. Lorsqu’un cheval est déferré pour la première fois, ou très rarement, il y a de grandes chances pour que son entraîneur attende de lui une place à l’arrivée. Certains chevaux fragiles ne peuvent pas être déferrés ou alors que très rarement, ce qui n’enlève en rien leur qualité, cette donnée doit être prise en compte afin de ne pas les écarter. • Regarder si le cheval fait une rentrée. Certains chevaux courent frais» c’est à dire qu’ils sont prêts à réaliser des bonnes performances même si il n’ont pas participé à une course depuis longtemps. Généralement, les chevaux qui rentrent ont besoin d’un ou deux parcours dans les jambes avant d’être à 100%. Une seule façon de savoir s’ils courent frais», regarder dans l’historique de leurs performances. Cela dépend aussi des entraîneurs, certains sont connus pour présenter leurs chevaux au top le jour de leur rentrée. Il peut aussi arriver qu’un cheval soit victime du syndrome de la 2éme course». Longtemps absent, un cheval peut réaliser une très bonne rentrée mais souffrir de fatigue lors de la course suivante.
ce qu il faut savoir sur les hippodromes