Trouverun avocat à Strasbourg. Notre site permet de poser gratuitement une question à un avocat de la région strasbourgeoise. L’avocat se situant dans votre ville, il est toujours plus facile d’avoir un avocat près de chez soi pour traiter son affaire. Vous trouverez dans la barrre de droite, les avocats classés par spécialité Les10 questions clés à poser à son Cabinet d'Avocat : Vous allez rencontrer un avocat prochainement. Il vous faudra décider ensuite de poursuivre avec lui ou non. Voici une liste de 10 questions clés qui vous permettront de faire le point. Avez-vous déjà défendu un Voiciles 10 questions que tu devrais poser lors d’un premier rencard selon les psychologues et les avocats spécialisés dans le divorce --4-Partage sur Facebook Partage sur Facebook Partager sur Pinterest. Peu de gens peuvent mieux décoder les signes avant-coureurs d'une rupture que les avocats spécialisés dans les divorces ou les psychologues de famille. Grâce à leur expérience, Avocatdivorce Lyon, ME AIZAC Jocelyne vous assiste en droit de la famille (divorce séparation) Tél:0607412575. Attention, actuellement des escrocs qui prétendent faire des prêts entre particuliers usurpent le nom d'avocats . C'est une arnaque ( faux tampons ( un avocat n'a jamais pour tampon Ministère justice française, fautes d Pourvous aider à couvrir l’ensemble des sujets avec votre avocat, nous vous présentons ci-dessous 10 questions à lui poser, à tout instant de la procédure. Contacter 1 - Quel est le montant des honoraires ? N’hésitez pas à aborder la question des Unepremière consultation à CHF 220.- pour poser toutes vos questions et faire le point avec un avocat spécialisé. Suite à la première consultation avec l’un de nos avocats, une tarification transparente vous sera proposée avec la possibilité de fixer un montant forfaitaire. 5MlhTNY. A la recherche d’un avocat divorce à Lyon ? Tout comme lors du divorce amiable sans juge, l’avocat en droit de la famille vous accompagne au quotidien dans la procédure de divorce contentieux devant le Juge aux Affaires Familiales et qui débute toujours avec une audience de conciliation et se termine par un jugement de divorce. Pour vous aider, le cabinet Ulrich Avocat répond à trois questions souvent posées lors de nos entretiens. Qu’est-ce que la liquidation du régime matrimonial pour le divorce contentieux ? Dans le cadre du divorce amiable sans juge, les deux avocats rédacteurs de la convention de divorce procèdent à la liquidation du régime matrimonial dans cette même convention de divorce amiable. Lorsque les époux sont propriétaires en commun d’un bien immobilier, l’intervention du notaire, en parallèle des avocats aux affaires familiales, est nécessaire dans ce divorce par consentement mutuel. En ce qui concerne les divorces devant le juge ou encore appelés divorce contentieux le divorce pour faute, le divorce pour altération définitive du lien conjugal ou encore le divorce accepté, la question de la liquidation du régime matrimonial se pose autrement. Lors de la conclusion du mariage sans contrat nait une masse commune appelée “communauté” qui va comprendre tous les biens achetés après le mariage les acquêts ainsi que tous les gains et salaires postérieurs audit mariage. Lors de l’assignation en divorce qui fait suite à l’audience de conciliation, l’avocat doit proposer une liquidation au juge. Mais au moment du jugement de divorce, le juge aux affaires familiales ne statue pourtant pas encore sur la liquidation du régime matrimonial. En effet, après le jugement de divorce, les époux entourés d’un notaire et de leurs avocats doivent négocier la répartition des biens et de l’argent communs ce qu’on appelle la liquidation de la communauté. En cas de désaccord, il sera alors nécessaire de saisir à nouveau le Juge aux Affaires Familiales du Tribunal de Grande Instance pour qu’il statue et partage définitivement la communauté. C’est ce qu’on appelle la procédure en liquidation partage et l’intervention d’un avocat y est obligatoire. Quelle est la durée moyenne d’un divorce contentieux ? Il est certain que le divorce contentieux est beaucoup plus long que le divorce par consentement mutuel sans juge. Dans certains cas exceptionnels et difficiles, la durée de procédure peut aller jusqu’à 10 ans, mais cela reste exceptionnel. Contrairement au divorce amiable, il est nécessaire de passer devant le Juge aux Affaires Familiales à deux reprises pour l’audience de conciliation puis l’audience de divorce. En France, il existe une véritable disparité entre les différents tribunaux. Il sera par exemple plus rapide de divorcer à Villefranche-sur-Saône que devant le Juge aux Affaires Familiales de Lyon ou de Saint-Étienne. Pour estimer également la durée d’un divorce, il faut également analyser le nombre de points de désaccords que le Juge devra trancher. Ainsi, si le Juge aux Affaires Familiales n’est saisi que d’un désaccord sur la pension alimentaire, le divorce sera plus rapide que s’il doit trancher les modalités de garde de l’enfant, le lieu de résidence ou l’exercice de l’autorité parentale. A Lyon, par exemple, sans difficulté particulière, un divorce contentieux peut prendre environ une année contre quelques semaines pour un divorce amiable par consentement mutuel. Contactez-nous pour en savoir plus sur la procédure de divorce. Peut-on avoir le même avocat pour une procédure de divorce contentieux ? Dans l’ancien divorce par consentement mutuel, il était possible d’avoir un avocat pour les deux époux, celui-ci avait pour obligation de ne manifester aucun intérêt financier. En pratique, concilier les époux lors d’une procédure de divorce s’avère très complexe. Aujourd’hui, que le divorce soit amiable sans juge ou divorce contentieux, chaque époux doit être représenté par un avocat différent, ainsi, plus aucun risque pour les époux de douter du bien fondé d’une répartition. En effet, avoir différents avocats en droit de la famille évite toute crainte d’un conflit d’intérêt et permet que chaque époux soit défendu au mieux dans la procédure de divorce contentieux. Spécialisé dans toutes les procédures de divorce, divorce amiable et divorce contentieux, le cabinet Ulrich Avocat à Lyon peut vous aider en vous apportant les informations nécessaires et vous accompagner tout au long des procédures de divorce, à Lyon et sa région, Saint-Etienne, la Loire et la région Isère. Maitre ULRICH est avocat à la Cour et dirige l’équipe du cabinet Ulrich Avocat. Après une formation universitaire Généraliste, il est devenu enseignant en Droit des Contrats puis Droit des Contrats Spéciaux et Droit des Sociétés. Il est également chargé de Cours Magistraux en Droit des Entreprises en difficultés redressement, liquidation judiciaire. Pour les entreprises comme les particuliers, le cabinet Ulrich Avocat croit en une approche alliant proximité, disponibilité et conseils de qualité. Vous souhaitez divorcer ? Votre conjoint a ouvertement dissimulé ses revenus et son patrimoine afin de venir minorer le versement de la pension alimentaire et de la prestation compensatoire qu’il vous doit ? Que faire pour contrer ces techniques ? Divorce cacher son patrimoine et ses revenus quels risques ? Les techniques de dissimulation de revenus avant un divorce La fixation du montant de la pension alimentaire ou de la prestation compensatoire lors d’un divorce se fait en fonction de vos ressources. Afin de diminuer la note il est possible que votre conjoint utilise des moyens pour cacher ses revenus, le plus souvent frauduleux. Lors du divorce pour fixer le montant de la prestation compensatoire votre conjoint doit fournir une déclaration certifiant sur l’honneur l’exactitude de ses ressources, de son patrimoine et de ses conditions de vie. Ainsi, pour dissimuler leur revenus ou leur patrimoine les ex-conjoints ont recours à différentes techniques soit en diminuant leur ressources soit en se créant des dettes Souscrire des emprunts réels ou fictifs auprès de tierce personne. Effectuer des donations, notamment une donation d’usufruit à un proche tout en conservant l’usage du bien. Minorer la valeur d’un bien par exemple en faisant un contrat de prêt à usage commodat fictif consistant à prêter l’usage gratuit d’un bien à un proche tout en s’en conservant la jouissance. Faire un apport de biens meubles ou immeubles à une société, en octroyant la majorité du capital à une personne de confiance tout en prévoyant dans les statuts un droit de vote double pour le minoritaire et en octroyant la gestion de la société au minoritaire. Détruire ses biens personnels. Provoquer le remboursement anticiper de ses emprunts avant le divorce. Reporter volontairement la perception de revenus Dissimuler des salaires en ne déclarant pas tous ses revenus. Retarder le paiement des dividendes Virer de l’argent sur des comptes à l’étranger. Déménager sans communiquer sa nouvelle adresse. Faire un contrat de vente fictif de ses biens auprès d’une tierce personne. Utiliser des prêtes noms. Effectuer de nombreuses dépenses avant son divorce. Acheter des biens qui peuvent être facilement sous-estimés dans une déclaration de ressources monument historique, pièce de collection, tableaux. Créer des indivisions conventionnelles sur un immeuble avec des amis. Organiser son insolvabilité présente de nombreux risques. Votre conjoint dissimule ses revenus et son patrimoine, que faire ? Vous n’avez pas encore divorcé et vous savez que votre mari dissimule ses revenus ? Si votre conjoint cache ses revenus avant le divorce, en réalité il organise ou aggrave son insolvabilité. Son comportement est pénalement répréhensible, il s’agit du délit d’organisation frauduleuse d’insolvabilité. Le fait pour votre ex-conjoint, d’organiser ou d’aggraver frauduleusement son insolvabilité est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. Saisir le Procureur de la République, peut le dissuader de cacher ses revenus. Si votre conjoint a organisé son insolvabilité pour diminuer le montant de la prestation compensatoire ou de la pension alimentaire qu’il devrait vous verser, l’utilisation de la voie pénale permet de lui faire peur et de stopper cette volonté de dissimulation. Cette procédure pénale est recommandée tant que le jugement de divorce n’a pas été prononcé. Par contre si vous avez déjà divorcé il n’apparaît pas systématiquement opportun d’utiliser la voie pénale pour contrer cette technique. En effet, le faire condamner pénalement sera une procédure très longue, il faudra saisir le Procureur de la république, l’enquête prendra beaucoup de temps. Si vous avez déjà divorcé, nous vous conseillons d’obtenir la révision de votre jugement de divorce pour fraude. Vous avez déjà divorcé et vous savez que votre mari a dissimulé ses revenus ? Si vous avez déjà divorcé, et que vous apprenez par la suite que votre conjoint dispose en réalité de revenus ou de biens qu’il a dissimulés, vous pouvez obtenir du juge qui revienne sur sa décision, il s’agit d’un recours appelé recours en révision » portant sur le montant de la prestation compensatoire ou de la pension alimentaire. En demandant un recours en révision sur le jugement de divorce, vous ne remettez pas en cause le principe même d’avoir divorcé, votre divorce reste acquis car juridiquement les conséquences pécuniaires sont dissociables du prononcé du divorce. Le recours en révision permet de remettre en cause une décision de justice qui s’est basée sur des déclarations ou des faits frauduleux. Or le fait pour votre conjoint de dissimuler des revenus est un acte de fraude. Comment effectuer un recours en révision de votre jugement de divorce ? Vous allez demander au juge aux affaires familiales qui a décidé de votre divorce de réviser son jugement, car votre ex-conjoint a agit frauduleusement. Le délai pour agir en révision est de 2 mois à compter du jour où le demandeur en révision a eu connaissance de la cause de révision qu’il invoque. Ainsi, dès que vous obtenez des éléments indiquant que vote ex-conjoint a dissimulé ses revenus ou son patrimoine il convient d’agir très vite en demandant dans les deux mois la révision du jugement. Comment prouver les manœuvres qu’utilisent votre conjoint pour dissimuler ses revenus ? Il s’agit du point le plus difficile, parvenir à prouver que votre conjoint dissimule des revenus. Sauf qu’ayant pris la peine de les cacher c’est pour vous difficile de prouver quelque chose qui est dissimulé. Il convient d’être méthodique et de vérifier tous les éléments de son patrimoine. Vous pouvez tout d’abord obtenir des attestations d’amis et de connaissances qui témoigneront de la réalité de son patrimoine. Si vous savez qu’il travaille sans déclarer ses revenus, vous pouvez le dénoncer à l’URSAFF ou encore à l’inspection du travail. Il conviendra de vérifier l’existence d’éventuelles sociétés lui appartenant au registre du commerce et des sociétés. Faire intervenir un huissier qui établira un constat prouvant qu’il utilise plusieurs voitures, ou qui dressera une liste de ses adresses connues. Votre ex-conjoint cache ses revenus, dissimule son patrimoine dans le seul but de ne pas payer la pension alimentaire ou la prestation compensatoire qu’il vous doit ? Agissez rapidement en contactant un avocat de votre région appartenant au réseau AGN qui se chargera de trouver les moyens pour contrer les techniques frauduleuses qu’utilise votre ex-conjoint. Il vous obtiendra la pension alimentaire et la prestation compensatoire qui vous sont légitimement dues ! Si vous souhaitez plus d’informations sur le divorce, AGN Avocats vous invite à lire ces articles Optimiser fiscalement son divorce en 4 points J’ai une société je divorce que peut demander mon conjoint ? Vous vous séparez de votre conjoint et vous souhaitez fixer entre vous les modalités relatives à l'autorité parentale, à la résidence des enfants et à la pension alimentaire ? Vous n'êtes pas en désaccord mais vous souhaitez qu'un cadre soit fixé et que cela soit formalisé ? La convention parentale ou convention d'accord parental ou encore pacte de famille, peut être la réponse la plus adaptée à votre situation. Maître Alecsandra MEYER, avocat en droit de la famille à Toulon dans le Var, vous en explique l'intérêt et les modalités remise en oeuvre. La convention parentale, c'est quoi? Il s'agit ni plus ni moins que d'un contrat rédigé par les deux parents et qui porte sur les modalités d'exercice de l'autorité parentale, la résidence des enfants et la contribution financière éventuelle de l'un d'eux. Il s'agit donc pour les parents de fixer amiablement les mesures relatives aux enfants communs lorsqu'ils se séparent. Le recours à la convention parentale tend à augmenter mais il n'est pas encore très usité. Pourtant, cette solution présente plusieurs avantages non négligeables. L'intérêt de la convention parentale La convention parentale présente plusieurs avantages - Elle est beaucoup plus rapide à mettre en oeuvre qu'une procédure en justice, - Elle peut également avoir la même force qu'un jugement si vous décidez de la faire homologuer par un juge aux affaires familiales, et dans ce cas de figure, dans la majorité des cas il n'y aura pas forcément d'audience. Vous gagnerez donc en temps tout en ayant une convention qui aura la même force exécutoire qu'une décision de justice, - Vous conserver la maîtrise de votre organisation familiale et des mesures concernant vos enfants, aussi vous pourrez prévoir des solutions sur mesure qui tiennent comptes des impératifs de chacun des parents, des besoins particuliers des enfants etc. Quelle est sa valeur juridique ? La convention parentale a la valeur d'un contrat. Cela signifie qu'elle oblige ceux qui l'ont signée. Chacun des parents devra donc la respecter, conformément à l'engagement pris. Cependant, elle ne pourra faire l'objet d'une exécution forcée, avec le concours de la force publique ou, pour les mesures financières recouvrement de pension alimentaire notamment avec le concours d'un Huissier de Justice, que si elle a fait l'objet d'une homologation par un Juge aux Affaires familiales. Comme il l'a été indiqué précédemment, la demande d'homologation demeure cependant plus rapide qu'une procédure de justice classique devant le Juge aux Affaires familiales, en ce que dans la majorité des cas le Juge ne demande pas la comparution des parties. La convention d'accord parentale pourra aussi être utilisée comme un moyen de preuve, par exemple lorsqu'après l'avoir conclue, les parents ne sont plus d'accord et que l'un décide de saisir le Juge pour voir modifier les modalités d'exercice de l'autorité parentale. En effet, il faut se rappeler qu'en application des dispositions de l'article 373-2-11du Code civil, lorsque le Juge doit se prononcer sur les modalités d'exercice de l'autorité parentale, il doit prendre en considération certains critères parmi lesquels "la pratique que les parents avaient précédemment suivie ou les accords qu'ils avaient pu antérieurement conclure". Qui peut recourir une convention parentale ? Les parents qu'ils soient mariés ou non PACS, concubinage peuvent recourir à une convention parentale. Concernant les couples mariés, la convention parentale ne pourra évidemment pas remplacer une procédure de divorce, laquelle demeure nécessaire pour dissoudre le lien matrimonial. Cependant elle peut permettre d'organiser la vie quotidienne en attendant une première décision de justice ou s'il s'agit d'un divorce par consentement mutuel, avant l'enregistrement de la convention le divorce par le notaire. Qui peut rédiger une convention parentale ? Vous pouvez évidemment la rédiger vous même, sans qu'il soit nécessaire de respecter une formalisme particulier. Cependant, il y a un intérêt certain à recourir aux service d'un avocat en droit de la famille qui pourra se charger de cette rédaction. En effet, votre avocat saura, compte tenu de son expérience en doit de la famille et devant les juridictions locales, vous orienter sur une rédaction précise des modalités de l'exercice de l'autorité parentale afin d'éviter ultérieurement que des conflits s'élèvent sur l'interprétation de telle ou telle disposition. Il saura également vous interrogez sur un certain nombre de détails ou mesures annexes aux mesures principales telles que la résidence des enfants afin que celle-ci soit la plus complète et la plus effective possible prise en charge des trajets, modulation de la pension alimentaire etc. Son intervention vous apportera donc une plus-value visant à optimiser l'efficacité de la convention parentale. Votre avocat en droit de la famille pourra également se charger de mettre en oeuvre pour vous la procédure d'homologation de la convention parentale par le juge aux affaires familiales. Vous vous séparez et vous souhaitez vous informer davantage sur la convention parentale ? Maître Alecsandra MEYER, votre avocat en droit de la famille à Toulon pourra vous recevoir et vous délivrer des conseils personnalisés. elle sera également à même de vous assister sur la rédaction de votre accord parental et d'en assurer l'homologation. N'hésitez pas à nous contacter par téléphone, via notre formulaire de contact ou encore à réserver directement en ligne votre consultation en cliquant sur la rubrique "Réservation". Lorsque les époux souhaitent engager une procédure de divorce, la question qui peut rapidement se poser est la suivante ai-je le droit de quitter le domicile conjugal ? En effet, aux termes de l’article 215 du Code civil, les époux s’obligent mutuellement à une communauté de vie ce devoir découlant du mariage doit donc être respecté par le choix d’un domicile conjugal. Il est effectivement délicat de quitter le domicile conjugal sans se protéger au préalable. En principe, l’abandon du domicile conjugal constitue une faute pouvant être retenue lors d’un divorce. Cet abandon constitue une violation grave des devoirs du mariage lorsqu’il est intentionnel. Néanmoins, le fait de quitter le domicile conjugal n’est pas forcément constitutif d’une faute il faudra évaluer les circonstances ayant provoquées ce départ. En effet, cet abandon peut être justifié par des motifs légitimes si les conditions de résidence communes sont insoutenables, s’il existe des violences, si le comportement du conjoint est outrancier, en raison de ces obligations professionnelles ou de son état de santé. Par ailleurs, quitter le domicile conjugal n’est pas forcément définitif. Il est fréquent que l’un des deux conjoints souhaite quitter le domicile afin d’apaiser les tensions lorsqu’il y a de nombreux conflits. Il sera nécessaire de prévenir le conjoint restant et éventuellement des proches pouvant témoigner en cas de contentieux sur le sujet par la suite. Il est également recommandé de déposer une main courante au commissariat celle-ci n’a pas de valeur juridique puisqu’il s’agit d’une simple déclaration mais elle pourra constituer un commencement de preuve et sera utile dans une procédure de divorce. Il est donc très important d’effectuer ses démarches afin que ce départ ne soit pas considéré comme une violation du devoir de cohabitation. Si le conflit perdure, il sera donc nécessaire d’envisager les dispositions pour quitter définitivement le domicile conjugal en vue d’un divorce. Quitter définitivement le domicile conjugal On l’a vu, en présence de circonstances exceptionnelles, le fait de quitter le domicile conjugal peut constituer une faute justifiant par conséquent le prononcé du divorce aux torts exclusif de l’époux fautif. Le juge devra donc vérifier s’il n’existe pas de circonstances exceptionnelles justifiant cet abandon du domicile. L’article 242 dispose donc à ce sujet que peut être demandé par l’un des époux lorsque des faits constitutifs d’une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage sont imputables à son conjoint et rendent intolérable le maintien de la vie commune ». A contrario, si le départ du domicile résulte de la faute d’une situation conjugale difficile, la faute peut être imputée à l’époux qui reste dans le sens où son comportement est à l’origine du départ de son conjoint. On peut prendre l’exemple, d’un époux victimes de violences ou dont le comportement présente un réel danger pour l’autre L’époux concerné devra faire constater les violences par un corps médical urgences des hôpitaux, service des unités médico-judiciaires… et se faire délivrer un certificat médical détaillant les blessures. Il sera nécessaire ensuite de déposer une plainte auprès du commissariat de police afin de faire signifier l’existence de violences et ainsi justifier le départ du domicile conjugal. Enfin, il sera recommandé d’engager par la suite une procédure de divorce contentieuse auprès du juge aux affaires familiales afin que ce dernier, lors de l’audience de conciliation, ordonne la résidence séparée des époux. Il est très important de réaliser ces démarches car cela peut engendrer d’importantes conséquences notamment vis-à-vis des enfants. Par exemple, les juges du fond ont tendance à attribuer la garde des enfants à l’époux qui est resté au sein du domicile conjugal. Quant au logement, l’époux qui quitte le domicile conjugal pourra perdre presque systématiquement tout droit de jouissance sur le bien commun. Il convient également de préciser que, lorsqu’il s’agit d’une location, le fait de quitter le domicile conjugal ne fait pas obstacle à la solidarité des époux concernant le règlement des loyers. Quitter le domicile conjugal lors d’une procédure de divorce par consentement mutuel Le principe veut que le juge soit le seul compétent pour autoriser des époux à résider séparément. Cependant, il est possible que les époux, dans le cadre d’une procédure de divorce par consentement mutuel, signent un pacte de séparation amiable ». Ce document retranscrit alors la volonté commune des époux de ne plus résider ensemble et qu’en conséquence, l’un d’entre eux quitte le domicile conjugal. Ce document n’a aucune valeur juridique, il s’agit simplement d’un document qui permet à l’autre conjoint de faire valoir un accord préalable en cas de changement de procédure vers un divorce conflictuel. La 2ème chambre civile de la Cour de cassation, à l’occasion d’un arrêt rendu le 22 avril 1997, a par ailleurs statué en ce sens, rappelant que la signature d’un pacte de séparation amiable n’affranchit pas les époux de l’obligation légale de résidence commune. La procédure de divorce par consentement mutuel étant plus souple, il ne sera pas demandé à l’époux qui a quitté le domicile conjugal d’invoquer des circonstances exceptionnelles. En effet, certaines juridictions telles que les tribunaux de grande instance de Paris, Créteil ou encore Versailles imposent même aux époux de fournir deux adresses différentes sous peine de voir leur audience reportée à une date ultérieure. Dans la pratique, les juges demandent donc que les époux soient déjà séparés et qu’ils aient deux domiciles distincts afin de prouver leur réelle intention de divorcer. Tout avoir et savoir sur le divorce Association pour aider coaching les personnes concernées par un divorce Avant, Pendant et Après Consultation gratuite où et comment ? Pour une association faire moins cher est le credo d’une association de consommateurs comme la notre. Par contre faire gratuit entre le loyer des locaux, les fournitures, le téléphone, etc. nous vous laissons essayer ! Essayez le numéro de téléphone du ministère de la Justice est 01 44 77 60 60 . Vous pouvez demander le service du droit de la famille pour poser votre question. Egalement vous avez SOS Avocats de l’ordre de Paris 0825 393 300 la minute ou Egalement sont nombreux les Avocats qui donnent des consultations par téléphone prévoir de 1 à 4 euros la minute. Pour ce faire il suffit de taper dans Google et autres consultation juridique par téléphone pour avoir des numéros d’appel. Si vous êtes adhérente à l’association Vous avez la possibilité d’avoir une consultation à 80 /100 € pour une heure avec les avocats référencés par l’association. Il est demandé un paiement pour éviter les abus et aussi pour couvrir les frais généraux de l’avocat. Ainsi vous avez une consultation objective et non une séance de charme pour que vous passez commande. SVP. si vous n’êtes pas adhérente, abstenez-vous de téléphoner pour tenter de grappiller un renseignement personnalisé vous risquez d’avoir un mauvais accueil ! une association c’est de mutualiser les coûts pour dépenser moins. Sur ce site vous avez déjà nombre d’informations gratuites. Pour avoir une information rapide, il faut être adhérente. N’essayez pas de nous gruger vous avez été parfois plus de 10 par jour, souvent pour résoudre des ennuis dans lesquels ne seraient pas les personnes si elles avaient adhéré, nous ne sommes pas votre conjoint, ni votre avocat. Nous vous rappelons que vous avez des consultations gratuites par Avocats dans les Palais de Justice, maisons du droit et Mairies de ville moyennes. Pour ce faire, mieux vaut vous renseigner avant sur les horaires et avoir une longue patience. Les files d’attente sont souvent conséquentes, même quand les durées d’entretien sont limitées à 15 minutes. Vous informer avant d’attaquer Préventivement, vous voudriez savoir si faire un procès en vaut la peine? Quel sera le coût à prévoir? Dans quel délai ? Comment cela se passe en pratique? Si cela sera rentable pour vous? Si l’affaire est simple et si l’avocat n’est pas obligatoire, il vous sera indiqué comment vous pouvez procéder sans lui. Mais en aurez-vous les capacités et le temps? C’est Faire soi-même ou Faire – Faire par un avocat. Notamment quand il s’agit d’une envie de vous séparer de son conjoint, ou vous désirez porter plainte, etc. Ce type de consultation exploratoire » vous permettra de conclure s’il vous sera profitable d’engager un procès Vous aurez une pré-convention d’honoraires pour mieux réfléchir. Mais voyez nos guides pour économiser du temps d’avocat cliquez sur Publication bandeau en haut à gauche ou Guides en haut à droite Si vous n’êtes pas encore adhérent L’association est composée d’ Hommes et de Femmes séparés ou Divorcés L’association travaille à distance par courrier, téléphone, émail L’association organise pour Divorcer moins cher L’association édite chaque mois une lettre d’informations vous concernant Pour avoir plus d’aide, adhérez sans attendre, avant d’avoir à subir des dégâts irréparables. Gagnez du temps en adhérant en ligne !

question a poser a un avocat pour un divorce